Ce sera le dernier billet romain de l'escapade d'octobre 2013 ! Pour vous récompenser des relations trop circonstanciées d'expositions et autres musées, un billet récompense, en forme d'images.
Depuis la "machine à écrire", dite aussi "la pièce montée" ou "le dentier", où nous sommes allés pour la première fois, après une bonne douzaine de séjours romains, pour visiter l'exposition Cézanne.
Du même endroit, que les lumières sont belles sur Rome en automne.
Une vision "angélique" du Panthéon : au moins, cela évite les légionnaires appointés par la ville de Rome pour poser avec les touristes !
La façade de l'église San Gregorio al Celio, en fin d'après-midi... où le Celio n'est pas le ciel mais le nom de la colline de Rome qui l'accueille.
... et la petite porte qui mène vers les trois chapelles cachées dans le monastère des sœurs camaldules de l'ordre de Saint Benoit : trois oratoires dédiés à saint André, sainte Sylvie et sainte Barbara et datant du XVIIème siècle.
Et le soir, qui tombe vite à cette saison, sur le mont Palatin, juste en face du mont Celio.
Photo prise lors de notre traditionnelle halte gourmande dans le cloître de Bramante.
Vous avez lu, peut-être, Les perroquets de place d'Arezzo, et appris, comme moi, que ces volatiles se pressaient dans les arbres de cette petite place belge en toute liberté. Et bien, à Rome aussi, on voit des perroquets en liberté : il y en a dans les arbres aux alentours du Palazzo Corsini, que je n'ai pas eu le réflexe de photographier... il y en a aussi sur Quirinal, cette petite tache verte posée sur une fenêtre du palais présidentiel le prouve !
Aucun lien avec la photo précédente, mais l'usage du telefonino est toujours aussi prégnant en Italie !
Via san Eustachio, quand on lève le nez, le cerf emblème du saint est fidèle au poste, sa croix fichée entre les cornes.
La nature est partout !!!
Et les pavés aussi !! Tant pis pour les chevilles...
Il y a toujours un pin à l'horizon, et nous nous demandions comment ils pouvaient être tous aussi beaux, aussi verts, aussi "bien coiffés" !!!
L'autre navicelle de Rome : celle qui s'élève en face de l'église de Santa Maria in Domnica, près de Santo Stefano Rotondo... et là, contrairement à celle de Pizza du Spagna, pas le moindre touriste en pose ou prêt à se tremper les pieds dans l'onde claire ! Calme garanti...
Un spectacle banal, certes, mais qui rappelle que la ville éternelle est aussi ville de couvents et de pèlerinages.
Quand on passe dans le Trastevere, un petit détour par Sainte Cécile, pour s'émouvoir une fois encore, devant la gracile statue de la sainte réalisée peu après son exhumation par Stefano Maderno, s'impose. Le monastère bénédictin est un vrai havre de paix et de sérénité dans l'ambiance un peu trop cosmopolite du Trastevere branché.
La Farnesina, un peu trop régulière peut-être, d'un classicisme épuré et revendiqué, s’accommode parfaitement du ciel bleu marine qui la surmonte ce jour-là !
En entrant dans la Galeria Doria Pamphilj, où il est impossible de ne pas faire un petit tour tant elle abrite de chefs-d’œuvre incontournables. Sous le porche, à gauche, on accède à cette petite folie : une salle de bains, dite "le bain de Diane", commandée en 1838 par le prince Filippo Andrea V au peintre Annibale Angelini, à l'occasion de son mariage avec Mary Talbot. Un couple qui fut très uni et qui s'entendait admirablement.
Les lumières de la ville, vues par deux michelais en goguette
La lune le soir de notre arrivée, telle qu'elle nous a accueillis sur "notre" terrasse"
Et bien sûr, les immenses vols d’étourneaux, courants dans toutes les villes en cette saison, se livrant avec ardeur à des ballets allélomimétiques (mais non, je ne flambe pas, j'oublie le nom à chaque fois !) au soleil couchant, pour la plus grande joie des badauds.